Typiquement, la médecine alternative diffère de la médecine traditionnelle dans cette médecine alternative est plus âgé et ce qu'on pourrait appeler la médecine non conventionnelle ou non-occidentaux. La médecine alternative ne suit pas la science traditionnelle et la recherche que les médicaments actuels subissent. La médecine alternative peut aussi être appelée médecine complémentaire ou traditionnelle, ou les traitements qui peuvent être intégrées dans la médecine actuelle. Le personnel de la National Library of Medicine des États-Unis classés médecine alternative dans la catégorie des thérapies complémentaires dans leur section Sujets MeSH. Cela a été fait dans les années 2002. La définition fournie était que les pratiques de médecine alternative thérapeutique ne sont pas considérés comme une partie intégrante de la médecine traditionnelle allopathique. Les thérapies comme l'acupuncture, diététique, la thérapie physique, comme des exercices ou de yoga, etc sont qualifiées de médecine alternative. Ces thérapies sont appelées complémentaires quand ils sont utilisés avec les traitements conventionnels. Si elles sont faites à la place des traitements conventionnels, ils sont connus comme des traitements alternatifs.
En avril 1995, le panel des National Institutes of Health, Bethesda, Maryland, a travaillé sur la définition et la description, la Conférence FAO Méthodologie de la recherche, Office of Alternative Medicine. Le panneau défini la médecine alternative et médecine complémentaire que ces ressources de guérison qui englobe tous les systèmes de santé et les pratiques qui sont différents du système de santé dominante d'une société ou une culture particulière. Habituellement, les thérapies comme l'Ayurveda, la phytothérapie, la médecine populaire, l'homéopathie, l'acupuncture, la naturopathie, le régime alimentaire, la chiropractie, la musicothérapie, le massage, la guérison pranique, etc sont classés comme la médecine alternative ou complémentaire. Les gens qui ne trouvent pas un remède, le remède ou le succès dans la médecine allopathique essaient généralement de médecine alternative. Ces personnes souffrent généralement d'un cancer, l'arthrite, le syndrome d'immunodéficience acquise déficience acquise (SIDA), des douleurs chroniques au dos, thérapies, etc inclus dans la médecine alternative serait cesser d'être inclus dans cette catégorie une fois leur efficacité est prouvée et ils sont considérés comme sûrs et efficaces. Ils sont alors considérés comme faisant partie de la médecine traditionnelle. Un exemple serait les chiropraticiens. Il ya vingt ans d'assurance ne paiera pas pour eux car ils étaient considérés comme «alternatifs et inefficace." Aujourd'hui, des milliers de personnes ont été aidées par les chiropraticiens et ils sont maintenant reconnus dans la communauté médicale. Un mouvement similaire est en cours dans le supplément nutritionnel et de l'industrie nutraceutique.
Au fil des ans, plus de gens ont eu recours à la médecine alternative parce que la médecine traditionnelle ne fonctionne pas pour eux. L'enquête de 2004 par le National Center for Complementary Medicine & Alternative des États-Unis a révélé qu'environ 36% des Américains utilisaient la médecine alternative en 2002. Si la médecine alternative est utilisée en conjonction avec la médecine allopathique traditionnelle, un médecin intégratif est la meilleure option d'une personne. Certains médecins traditionnels sont catégoriquement contre ou tout simplement ne croient pas en la médecine complémentaire, même si la recherche continue de montrer les avantages de nombreux composés. Votre médecin doit être informé sur d'autres approches que vous utilisez peut-être, et si elles ne sont pas l'aise avec ça, puis me sens toujours libre de choisir un autre médecin. Cela permettrait au médecin de prévoir toutes les complications possibles ou un meilleur temps pour utiliser une thérapie complémentaire. Le souci dans l'utilisation de la médecine alternative provient du fait que certains praticiens de médecine alternative n'ont pas un diplôme accrédité médicaux et n'ont donc pas une licence valide médicale. Toutefois, ces derniers temps, de nombreux établissements d'enseignement et les universités ont commencé à offrir des cours en homéopathie, l'ayurveda, siddha, unani, l'acupuncture et la naturopathie. La croissance récente dans cette industrie est évident par les nombreuses personnes exigeantes différentes, et dans certains cas, mieux, de soins que ce qu'ils reçoivent en «médecine moderne». Ils ne sont plus à accepter le fait qu'ils ont besoin de souffrir de douleurs ou de maladie parce pharmacie moderne n'a pas de formule magique pour eux.
Source de l'article: http://EzineArticles.com/518820
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